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Temps de lecture: 15mn

Cet email du vendredi est particulièrement long.

Ce mail est parti d’une idée de 3 lignes griffonnée sur un bout de papier la semaine dernirère, j’étais parti pour faire quelques centaines de mots puis j’ai écris sans voir le temps passer.

J’ai pris un plaisir de dingue à le réécrire et le peaufiner, ça fait des jours que je suis dessus.

Quand je suis dans cet été de flow, c’est que ça touche mes valeurs profondes et que je crois profondément que ça peut aider plein de gens.

Cette newsletter, c’est presque un ebook, ça pourrait même devenir un livre tellement j’aurai encore de choses à dire.

C’est pas juste un email, c’est presque un programme pas à pas pour réussir dans la vie et le travail.

Alors sans doute que si tu suis les différentes recommandations et liens de cet email ça va te prendre un peu de temps, mais je suis sûr que tu y trouveras des pépites qui t’aideront.

C’est parti.


Parlons réussite.

Ce grand objectif que plein de personnes poursuivent.

Tu as probablement déjà vu un million de recettes pour y arriver.

Tu as peut-être même vu ma conférence sur le sujet.

Si tu ne l’as pas vue, tu devrais, j’y parle des mécanismes émotionnels et du mindset de celles et ceux qui réussissent.

Mais je ne peux pas tout y dire.

Dans cet email, je te parle de 6 principes qui peuvent transformer radicalement ton métier, tes revenus, ta vie, celle de ton conjoint, de tes enfants, de ton chien, de ton chat, de ton poisson rouge, de ton raton-laveur, et même des gens que tu ne connais pas encore.

Principe 1 : Réduire l’écart entre l’idée et son exécution

Passer rapidement de l’idée à l’action et ajuster en cours de route est une caractérique clé de celles et ceux qui réussissent.

Mais la plupart des personnes que j’accompagne, passe des heures, des jours, des semaines, voir des mois à réfléchir à leur idée de programme de coaching, de formation, de stage, de formation en ligne qui leur permettrait de gagner plus et de toucher plus de monde.

Elles planifient, prévoient, anticipent, certaines ont même déjà crée des vidéos, du contenu ou un tout programme.

Elles en rêvent et procrastine l’action qui compte vraiment en faisant ce que personne ne verra jamais car l’essentiel n’est pas là.

Elles n’ont rien annoncé et n’en parlent à personne.

Les raisons sont souvent un mélange de :

  • Attendre que tout soit parfait alors qu’elles n’ont aucune idée de ce que veut vraiment leur audience
  • Elles veulent toucher tout le monde, sans savoir précisément à qui elles parlent et quel problème elles solutionnent
  • Elles se comparent à d’autres plus avancés et se disent que leur truc marchera jamais
  • Elles n’ont pas d’audience, n’osent pas en parler, et ne sauraient pas le faire sans avoir l’impression d’être un marchant de tapis

Les conditions parfaites n’arrivent jamais.

Et si tu attends que toutes les planètes soient alignées, tu ne feras jamais rien.

Dans le stage Odyssée qu’on a animé avec Jean-Pierre Chaudot, on s’est rappelé que tout ce qu’on avait fait était parti d’un « Fais, et tu verras bien. »

Même sans audience, ça fonctionne.

Je dis à tous ceux que j’accompagne de commencer par la fin, de mettre leur programme sur leur site Internet, de mettre en avant l’idée, la philosophie, c que ça apporte et à quoi ça sert, et si les gens sont intéressés, ils peuvent appeler.

L’idée est devenu action en public et ça a des dizaines de bénéfices.

Un ami faisant des soirées auto-hypnose, il a commencé avec 4 personnes, c’était pas terrible au début (pour pas dire autre jour,) mais il a continué toutes les semaines… 3 mois plus tard il avait 70 personnes dans la salle.

On apprends bien plus vite en faisant qu’réfléchissant.

Les idées deviennent tangible par l’action.

« Attendez-vous à ce que 80% des idées viennent après que vous ayez commencé à écrire » – Paul Graham

C’est comme ça qu’est né Jurassic Park.

Michael Crichton a parlé de l’idée autour de lui, il en a parlé à Steven Spielberg qui a acheté pour 2 millions d’euros les droits avant même qu’il n’ait fini son livre.

Twitter est né d’une plateforme appelée Odeo, fondée par Noah Glass et Evan Williams en 2005. Odeo était initialement une entreprise de podcasting, créée pour permettre aux utilisateurs de découvrir, enregistrer et partager des podcasts.

Quand Apple a lancé son outil de podcast, ils ont pivoté et ont créé Twitter.

Les actions servent de guides et d’ajustement, les idées et les projets s’améliorent et s’adaptent en faisant.

Tous mes programmes, qu’ils soient en ligne ou en présentiel sont partis d’une idée et ont été construits en faisant avec mon public. C’est grâce à leurs retours que j’ai pu construire des programmes adaptés à leurs besoins et à éviter la malédiction du savoir.

Développer cette compétence demande de la pratique et du temps, car comme toutes les compétences, elle s’apprend en faisant (j’ai assez enfoncé le clou ou pas ?).

Même si je l’ai fait sur tous mes programmes, c’est un de mes gros points faibles, je réfléchis trop, j’aime analyser, comprendre, savoir où je vais et pourquoi.

J’aime penser, j’aime réfléchir, j’aime analyser, déconstruire et comprendre. Agir n’est pas mon point fort et c’est souvent pour ça que je me fais accompagner, pour que mon coach ne me laisse pas tomber dans mes travers.

Mais attention, le passage à l’action rapide peut aussi être un défaut. J’ai accompagné beaucoup de personnes qui agissaient très vite, mais qui avaient besoin de ralentir, de prendre de la perspective et du recul.

Elles avaient cette tendance qu’ont beaucoup de gens : ils s’épuisent de projet en projet, ne finissent jamais vraiment rien, se cherchent en permanence ou stagnent car ils procrastinent par de l’action inutile.

Tout n’est pas qu’avantages ou défauts et tout dépend du contexte, c’est tout l’intérêt de bien se connaître pour pouvoir y être attentif.

Principe 2 : Viser le progrès, pas la perfection

Réussir du premier coup, c’est comme vouloir gagner le tour de France sans savoir faire de vélo.

C’est vouloir éviter l’apprentissage, les hauts et les bas, les doutes, les peurs et la souffrance de l’entraînement que demande la progression vers le haut niveau de n’importe quelle compétence.

Quand je jouais au golf, ce qui m’a le plus aidé est la phrase d’un des meilleurs joueurs de tous les temps, Ben Hogan.

« Sur un parcours de 72 coups, je suis content de 4 ou 5 seulement »

Ça fait pas beaucoup de coups.

Je me suis rendu compte, comme beaucoup de joueurs amateurs, que je cherchais à faire plus de meilleurs coups que le meilleur joueur du monde.

Même un amateur peut faire 4 ou 5 coups extraodinaires sur un parcours.

Le golf enseigne que les erreurs sont inévitables et que le but est d’en réduire les conséquences.

Au golf, celui qui gagne est celui qui a fait le moins d’erreurs coûteuses.

Et c’est la différence entre le pro et l’amateur : le mauvais du pro est meilleur que le bon de l’amateur. 

C’est comme dans l’accompagnement.

Même un thérapeute avec 2 jours de formation dans les pattes peut avoir quelques résultats extraodinaires dans l’année, c’est pas ça qui fait de lui un bon thérapeute.

C’est pour ça que les histoires de supers séances sur les réseaux ne m’intéressent pas, y’a rien à y apprendre, on apprends des cas difficiles et des galères.

Le secret de la progression est de réduire l’écart entre le bon et le mauvais.

Plus l’écart est réduit, plus on s’autorise à prendre des risques, à oser plus et à tenter plus de choses, c’est ça l’excellence, c’est ça le progrès.

C’est là qu’existe la confiance, dans cette zone inconnue de beaucoup entre le bon et le mauvais. 

Ça demande de l’expérience et surtout, d’apprendre à progresser efficacement et durablement (scoop, c’est aussi une compétence qui s’apprend)

Il n’y a pas de raccourcis pour atteindre l’excellence.

Aucun raccourcis vers la réussite, les accomplissements durables et de qualité nécessitent du temps, de l’effort et de la persévérance.

Mais la bonne nouvelle, c’est que le métier d’accompagnant, c’est comme le golf.

On peut prendre un coach qui vous nous aider à réduire les erreurs qui coutent cher, à prendre le temps de développer les bonnes compétences, à faire les choses dans le bon ordre pour progresser plus vite et atteindre nos objectifs plus rapidement, et surtout, à éviter de retomber dans nos travers sans s’en rendre compte.

Principe 3 : Regarder la réalité en face

On a tous des lunettes à travers lesquelles on se voit et on voit le monde.

D’ailleurs, je ne sais pas pourquoi on appelle ça des lunettes.

Les lunettes c’est censé aider à voir mieux, mais les nôtres, elles nous déforment tout.

C’est plus des lunettes à ce niveau-là, c’est un mégashoot : un mélange de joints, d’alcool et d’ecstasy qui nous donne l’impression que le bouc du coin sent bon, que la vache du champ d’à côté est la plus belle femme du monde et que le paillasson du voisin est notre lit.

Et on regarde le monde comme ça, l’air de rien, comme si tout ça était normal.

Mais surtout on se regarde soi, et on se sous-estime, ou, et c’est presque pire, on se surestime.

Dans tous les cas, on est à côté de la plaque.

Pour progresser, pour réussir dans la vie pro et perso, il nous faut des lunettes claires, des lunettes qui montrent nos forces et nos faiblesses, nos limites, nos talents, notre « génie » et nos zones de progression.

Et c’est grâce à des regards extérieurs, francs, directs, honnêtes, mais bien intentionnés qu’on y arrive.

Les autres sont meilleurs juges de nous que nous-mêmes. C’est un biais cognitif, on est nul à se juger soi-même, mais excellents à juger les autres. Pas pour rien que je parle de faire plus de place au jugement.

Quand les autres nous aident, nos angles morts deviennent des zones de conscience sur lesquelles on peut agir.

C’est pour ça que je recommande cet exercice qu’on retrouve dans plein de programmes de coaching, celui de demander à des amis, des connaissances, mais en évitant les gens trop proches, ce qu’ils pensent de nous.

Tu peux t’inspirer de cet exemple si ça te dit et l’envoyer à au moins une dizaine de personnes :

Salut,

Si tu as quelques minutes, pourrais-tu prendre le temps de répondre à ces 3 questions me concernant ?

Réponds avec ce qui vient, dans le flow, sans trop y réfléchir, qu’on se connaisse bien ou pas.

  1. Quels sont mes points forts ? Sur quoi peux-tu compter ? (merci d’indiquer 3-4 choses)
  2. Quelles sont mes faiblesses ? Sur quoi ne peux-tu pas compter sur moi ? (merci d’indiquer 3-4 choses)
  3. Quel est mon talent unique à ton avis ? Ce que tu trouves chez moi et pas chez d’autres ?

(si vous êtes amis avec la personne, demandez-lui en plus « Pourquoi tu es ami avec moi ?)

Merci !

Ca pique parfois, ça fait chialer souvent, des fois ça fait rien. Si ça ne pique pas, ou si c’est que du super positif qui flatte ton ego : change ton entourage. Si ça fait rien, soit tu te connais très bien et c’est super, soit faut changer ton entourage.

Quand c’est bien fait, c’est puissant et transformateur, mais c’est rarement suffisant. S’il suffisait d’avoir le retour des autres pour lever ses limites et changer certains comportements, ça se saurait.

Il y a souvent des enjeux émotionnels, des croyances inconscientes, des conditionnements derrière tout ça.

Ça se travaille, et les limites, ça se lève.

Le plus dur avec les limites n’est pas de les lever, c’est de savoir celles qu’on a vraiment.

Je ne compte plus le nombre de fois où j’ai vu des gens venir en me disant « mon problème c’est ça », alors que pas du tout.

Parce que des fois les limites ne sont pas celles qu’on croit, et la limite la plus courante est celle de croire qu’on en a, alors on passe sa vie à les chercher et à accuser son inconscient, les autres ou je ne sais quelle puissance invisible de nos échecs.

Lever les limites, c’est aussi d’arrêter de s’en chercher et de faire le travail nécessaire que demande le développement de compétences, je crois profondément que travailler sur soi devrait être un dernier recours.

Principe 4 : être le (bon) scénariste de son histoire intérieure

Ton cerveau, c’est comme un scénariste.

Si t’as du bol, t’es dans un film de superhéros ou tout est possible, t’as la foi, t’as un superpouvoir et tu gagnes toujours à la fin.

Si t’as pas de bol, t’es dans un drame où t’es la victime, et ça finit toujours mal.

Mais tu regardes quand même parce que c’est beau, touchant et parce que les émotions c’est cool et ça fait du bien, même quand ça fait mal, on se sent bien avec des émotions, c’est tellement cool.

Et puis faut être honnête, des fois voir que d’autres personnes galèrent, ça fait du bien au moral.

Mais là, manque de bol, les autres qui galèrent et qui sont les victimes, c’est toi.

Ton cerveau il est nul comme scénariste, ça donne un mélange de oui-oui, de piège en haute mer et de père castor qui tentent de faire du Candy, mais c’est plus le pays des merveilles, c’est le pays des galères.

Il sait raconter des histoires, mais elles ne sont pas bien écrites, les personnages sont plats et chiants à crever.

Le pire, c’est que tu ne peux pas éteindre la télé. T’es coincé, t’es obligé de le regarder ce film de merde.

Et en boucle, en plus.

Toute ta vie !

On se croirait dans une salle d’attente chez le dentiste : on se fait chier, et en plus on sait qu’on va souffrir et que 10 minutes vont paraître 2 semaines.

Ton cerveau va faire au gré du vent et de ses conditionnements, un jour t’es un superhéros et le lendemain l’antihéros pour qui tout finit toujours mal.

La bonne nouvelle, c’est qu’un scénariste, ça se vire.

Tu peux en engager un nouveau, qui écrit des histoires de courage, de réussite, de résilience et de transcendance.

C’est la clé de la résilience et de l’estime de soi, mais comme cet article est déjà assez long, je t’invite à lire cet article plus détaillé sur ce sujet, « Que deviendriez-vous si vous étiez dans une histoire ? » que tu peux lire en cliquant ici.

Principe 5 : Embrasser sa vulnérabilité

Embrasser au sens d’accepter, d’accueillir et surtout d’intégrer sans résistance.

C’est pas juste un p’tit bisou, c’est de l’amour, avec un grand A. Ce truc qui se passe dans le silence, sans besoin de mots, c’est cette phrase de Victor Hugo que j’adore et que j’ai en affiche chez moi.

« Aimer c’est savoir dire je t’aime sans parler » – Victor Hugo

La vulnérabilité, c’est le superpouvoir caché du héros de ton histoire que tu dois apprendre à ton scénariste intérieur.

On pense que c’est une faiblesse, alors on la cache.

On porte un masque, une armure, et cette armure finit par nous écraser.. (au passage, je vous recommande de lire Le chevalier à l’armure rouillée de Robert Fisher)

Oser enlever les masques est difficile, on a souvent besoin d’aide.

Des fois on croit qu’on les a enlevés, mais il en reste encore, et encore, et encore.

C’est pire qu’un oignon, mais ça fait chialer pareil.

Se connecter vraiment à soi-même, aux autres, à cette force d’être authentique, imparfait mais vrai, est un chemin, une progression.

Le principe 2, « viser le progrès, pas la perfection » s’applique pleinement ici.

J’en vois souvent qui réduisent l’authenticité à des concepts simplistes ou d’autres qui la balayent d’un revers de la main parce que ça serait un cliché du développement personnel.

Si c’est vrai que c’est un terme souvent utilisé abusivement, l’authenticité s’écrit, comme l’amour, avec un grand A, et des centaines de pages ne suffiraient pas à en faire le tour.

L’authenticité est l’aboutissement d’une démarche spirituelle souvent longue et difficile, elle demande une grande connaissance de soi, et des personnes qui savent te dire quand t’es pas congruent, quand t’es pas aligné et que tu te mens.

Quand vous m’entendez dire « Hmm », « Mouais » dans mes accompagnements, c’est que j’ai perçu cette incongruence, ce manque d’alignement et d’authenticité profonde.

Et quand on m’autorise à dire ce que je pense de ce qui se joue, souvent ça pique…mais c’est libérateur.

Principe 6 : Aligner ses actions avec son « vrai » soi

Au fond de nous, il y a une boussole.

Elle pointe vers nos vrais désirs, nos valeurs, ce pour quoi on est fait, là où se cachent nos talents que parfois on appelle défauts ou faiblesses.

Parfois, on l’ignore.

Mais souvent elle a perdu son nord, comme une vraie boussole dans un champ magnétique.

Ce champ magnétique fait de buts qui ne nous font pas vibrer, de zones de compétences au lieu de zones de génie, de conditionnements du système, de l’éducation, des parents…

Alors plutôt que d’errer sans boussole, on reste là où est c’est plus facile, plus simple, où la lumière ne brûle pas et où l’ombre est devenue refuge.

On suit le chemin que d’autres ont tracé pour nous.

« Si le chemin que tu as devant toi est dégagé, tu es probablement sur le chemin de quelqu’un d’autre » – Carl Jung

La clé est de choisir des actions qui résonnent avec qui on est vraiment, de trouver son « génie quotidien », ce qui nous met en joie, avec un grand J.

Pas du plaisir, pas du fun, pas du cool, non, non.

De la joie.

J’explique longuement comment faire ça dans cet article.

Il ne suffit pas de lire et de se dire « ah ouais ça a l’air cool », il faut faire le travail nécessaire que ça demande et c’est moins facile que ça en a l’air.

La réussite n’a rien à voir avec l’image qu’on s’en fait

Même si la route est incertaine, même si parfois au lieu de la joie on rencontre le doute, la tristesse, la colère…tout ça ne sert qu’à trouver ce qui est juste pour soi.

La réussite, c’est cette richesse qu’on trouve dans sa joie, dans l’expression de son authenticité, dans cette démarche d’évolution personnelle qui impacte tous les aspects de la vie.

D’ailleurs, les gens pensent que développement personnel et évolution personnelle veulent dire la même chose.

Pourtant, les différences sont fondamentales :

  • Le développement personnel se concentre sur l’amélioration de compétences spécifiques, la réalisation d’objectifs et l’atteinte de résultats tangibles.
  • L’évolution personnelle concerne un changement plus profond et global dans la manière dont on se perçoit et interagit avec le monde. Elle vise une transformation intérieure, un élargissement de la conscience, en lien avec des questions de sens, de valeurs, et de réalisation de soi.

Les deux ne sont pas mutuellement exclusifs, mais plutôt complémentaires.

Le développement personnel fournit les outils et les compétences nécessaires pour naviguer efficacement dans la vie quotidienne.

L’évolution personnelle permet de donner un sens plus profond et plus riche à ces compétences et à ces actions.

C’est l’équilibre entre les deux qui mène à une vie à la fois productive et épanouissante.

Par exemple, développer des compétences de communication (développement personnel) est enrichi par une compréhension plus profonde de ses propres motivations et émotions (évolution personnelle).

C’est dans cette richesse, dans cette complémentarité qu’est la véritable réussite.

C’est une relation amoureuse entre le pragmatisme de l’action, du développement de compétences et l’immatériel de la beauté de l’humain et de la connaissance de soi.

Ce mariage qui donne naissance à une vie qui nous fait kiffer et qui impacte celles et ceux qui nous entourent.

Ce mariage, c’est un peu comme notre projet Odyssée avec Jean-Pierre Chaudot.

Deux couleurs et deux énergies différentes qui s’assemblent autour d’une même philosophie.

Celle d’aider à aider plus de monde en travaillant moins, gagnant plus et surtout en profitant de la vie.

  • Travailler moins, parce que beaucoup de gens travaillent trop, ils ont échangé un 09h 17h contre un 24/24 7/7. Le retour sur investissement de l’énergie investie n’est pas à la hauteur de leurs attentes. Ça manque souvent de méthode, de structure, de suivi et de limites à lever sur l’argent, le métier d’accompagnant et la vie.
  • Gagner plus, parce que quand on cumule les charges et les frais de notre métier, on se rend vite compte qu’on gagne pas tant que ça, et pour beaucoup, à peine de quoi subvenir à leurs besoins. Gagner plus ne veut pas dire gagner des millions et rouler en Ferrari, on s’en fout de ça. Pour nous, c’est gagner suffisamment pour que l’argent ne sois plus un sujet de pression, de prise de tête et de soucis.
  • Profiter de la vie, parce que personne n’a envie d’attendre la retraite pour kiffer les moments en famille, d’avoir le temps d’investir dans une relation de couple qui tient sur la durée et qui fait kiffer. Parce que l’argent, à la fin, c’est pas ce qui reste. Ce qui reste se sont les souvenirs, les expériences et ces moments qui passent si vite et qu’on regrette de ne pas avoir pu en profiter pleinement.

Et si toi aussi tu veux vivre ta vie d’accompagnant(e) de cette façon…

Oublie les résultats qui claquent, le statut et la taille de ton compte en banque (sauf s’il est trop petit, parce que l’argent fait le bonheur).

Passe à l’action, vite. 

Progresse chaque jour. 

Sois lucide sur qui tu es, écoutes les autres, assumes tes forces et tes faiblesses.

Réécris ton histoire. Sois le héros, pas la victime.

Enlève ton armure rouillée que tout le monde en a marre de voir et autorise-toi à être vulnérable.

La réussite c’est pas une destination, c’est le chemin.

Ton chemin, unique, avec ses doutes et ses galères.

La route que toi seul(e) peut tracer, avec tes tripes.

Tes joies, tes souffrances, ta vision du monde, tes projets et tes rêves deviendront la carte de milliers d’autres personnes.

Cette route que tu traces donnera envie à d’autres de la suivre, de te rencontrer, d’acheter tes services, tes produits, tes livres, tes formations ou que sais-je encore.

C’est ça réussir.

Grandir.

Grandir en public.

Faire de ta vie une œuvre d’art, que certains trouveront pas terrible et que d’autres trouveront magnifique.

Le monde n’attend que ça, découvrir de nouvelles œuvres, de nouveaux artistes, celles et ceux qui transforment leur vie pour transformer celle des autres.

Alors fonce.

Laurent

PS :

J’ai réouvert les appels clarté que j’avais l’année dernière.

Je vais pas te la faire à l’envers et être clair tout de suite :

Pour réserver un appel il faut d’abord que tu répondes à un questionnaire, et si tu corresponds aux personnes que nous recherchons pour créer cette communauté d’indépendants qui partagent le même mindset et la même vision du monde, je te proposerai de nous rejoindre sur l’Académie Odyssée que nous avons créée avec Jean-Pierre Chaudot.

Pas de vente forcée à deux balles ici, que tu sois intéressé(e) ou pas, je t’aiderais autant que possible ou te dirais quoi faire ou vers qui aller pour que tu puisses atteindre tes objectifs au plus vite.

Si ça t’intéresse, clique ici pour répondre à notre questionnaire.